Histoire   partagée

Un investissement
c’est d’abord
une rencontre

#Impact | #En portefeuille

Créée en mars 2010, Recyc-Matelas Europe est la première entreprise française de démantèlement et de recyclage des produits de literie, destinés à être valorisés au travers de différentes filières industrielles. Entreprise engagée dans le développement durable, Recyc-Matelas Europe mène également une politique sociale forte en œuvrant pour l’insertion depuis 2013. C’est à ce double titre que Weinberg Capital Partners est entré au capital de la société en septembre 2021, via son fonds WCP Impact Dev#1.

Lancé en 2020, l’expertise Impact de Weinberg Capital Partners se donne pour mission d’accompagner des PME et des ETI, répondant à des enjeux sociaux, sociétaux ou environnementaux.
En 2020, Recyc-Matelas Europe souhaite poursuivre son développement en capitalisant sur les actions concrètes qu’elle mène en termes environnementaux, sociaux et de gouvernance.
Soucieux d’être accompagnés afin de mener à bien cette stratégie, les dirigeants de l’entreprise rencontrent dès l’automne 2020 les équipes de l’expertise Impact de Weinberg Capital Partners.

En   chiffres

« Nous avions des actions à fort impact qui nous tenaient à cœur, mais nous n’avions pas de cadre ni d’indicateurs nous permettant de les déployer. Les sujets étaient nombreux, et avec Weinberg Capital Partners, nous en avons fait les piliers de notre développement. »
Jérémy Settbon – président de Recyc-Matelas Europe

Regards   croisés

Jérémy Settbon L’histoire a commencé en septembre 2020. C’est à cette époque, alors que la Covid-19 sévissait toujours et ne nous permettait pas de nous projeter sereinement sur l’avenir que nous avons rencontré les équipes de Weinberg Capital Partners. Et je dois dire que le feeling a été immédiatement bon entre nous. Dès les premières discussions, nous nous sommes compris. Non seulement sur le type de partenariat que nous recherchions mais aussi sur la feuille de route que nous nous étions fixés.

Sacha Talmon L’écoute, la volonté de comprendre, la confiance, une part d’intuition aussi, sont les piliers essentiels de notre métier. La dimension humaine est fondamentale, à plus forte raison lorsque l’on est un fonds impact dont le but est d’accompagner des sociétés répondant à des enjeux environnementaux ou sociétaux. Recyc-Matelas Europe travaille de façon exemplaire sur ces deux aspects, puisqu’elle agit à la fois pour l’environnement et pour l’insertion. Il était donc évident que nous devions écrire une partie de son histoire ensemble !

J.S. Créer d’emblée cette relation de confiance dans une conjoncture économique défavorable a été déterminante pour nous. L’approche et la stratégie de Weinberg Capital Partners étaient claires. Tant sur le type de gouvernance que sur l’élaboration du plan impact sur cinq ans. C’était une première pour moi ! J’ignorais ce que cela impliquait d’avoir un tel acteur institutionnel comme principal actionnaire au capital. Autant le dire : je craignais une forme d’ingérence, que Weinberg Capital Partners décide des grandes orientations et de la gestion quotidienne de la société. Mes doutes ont vite été éclipsés : j’ai rapidement compris qu’il s’agissait d’un véritable accompagnement ciblé, pensé ; un vrai partenariat, une vraie valeur ajoutée.

S.T. C’est notre ADN, notre fonctionnement : nous avons une approche singulière sur le marché à travers notamment la mise en place systématique d’un plan d’impact spécifique à chaque société. Nous faisons du sur-mesure. Mais tout cela ne se fait pas en claquant des doigts. Notre mission première est d’identifier des sociétés comme Recyc-Matelas Europe qui ont atteint un certain stade de développement et qui partagent nos valeurs. Viennent ensuite les premières rencontres dont l’un des points forts, et non des moindres, est le management, à la fois d’un point de vue gouvernance mais aussi en termes de sensibilité par rapport à l’investissement impact. Le plan d’impact, lui, peut prendre entre trois à six mois avant d’être bien défini. L’enjeu est de conjuguer les attentes de toutes les parties prenantes, à tous les niveaux de la chaîne de valeurs, avec le développement de la société.

J.S. Nous avions des actions à fort impact qui nous tenaient à cœur, mais nous n’avions pas de cadre ni d’indicateurs nous permettant de les déployer. Les sujets étaient nombreux, et avec Weinberg Capital Partners, nous en avons fait les piliers de notre développement : l’amélioration de l’outil de production, des conditions de travail, l’implication des salariés, la communication et la mise en valeur de ce que nous sommes, de ce que nous faisons, de nos collaborateurs.

S.T. Si nous n’avions pas eu cette vision et cette sensibilité partagée sur les aspects extra-financiers, jamais notre partenariat n’aurait été envisageable. Plusieurs fois, nous avons eu à faire à des discours de façade. Lorsque nous décidons d’investir dans une société, cela se fait après l’analyse d’un projet, mais aussi en fonction de la relation que nous créons avec le dirigeant.

J.S. On ne peut pas tricher sur le management.

S.T. C’est vraiment une rencontre. Pour moi, c’est ça un investissement. C’est d’abord une rencontre. Une histoire d’Homme avec un grand H. Et les résultats sont déjà là. Cela fait un an et demi que nous travaillons ensemble, quotidiennement, et je crois pouvoir dire que l’entreprise se développe telle que Jérémy et nous, le voulions. Que l’entreprise soit à la fois durable et profitable, croissante et exemplaire. C’est, selon nous, la clef de la pérennité.

J.S. Et nous n’en sommes qu’au début !